SANS EFFORT PAS DE PRIX , SANS COMBAT PAS DE VICTOIRE
SANS EFFORT PAS DE PRIX , SANS COMBAT PAS DE VICTOIRE
Telle fut la devise adoptée par les pionniers du CSS , devise qui guidera longtemps ces jeunes mordus du ballon rond .
Malgré de nombreux détracteurs , en 1913 la jeune équipe pouvait disputer des matchs plus importants grâce à l'apport financier de commerçants tels que Pierre BRACH , THIEL , KARMANN , KAESTLE , HILZHEBER , NUSSBAUM , BURGER , JOTZ , BEITZEL , BAUM et en particulier du tenancier du Café du siège social , François MEYER .
Au même moment , la Société De Wendel mettait à la disposition des joueurs un terrain vague situé à quelques 300 mètres du terrain actuel .
Mais un mauvais plaisantin ayant dérégler l'aiguillage de la voie de chemin de fer passant à proximité du terrain , une locomotive ayant déraillé , la Direction interdit purement et simplement tout jeu sur le terrain .
Tout était à recommencer .
De Wendel restait intraitable mais par bonheur , M. RAUSCHER exploitant une ferme à l'actuel emplacement de la nouvelle cité du Habsterdick à proximité du cimetière militaire consentit à louer au club un champ pour un loyer annuel de 120 marks .